Premières vies (vinyle)

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épuisé

Rien ne sert de mourir, il faut courir à point. Ce qui vaut pour l’Apocalypse de Saint Jean – tout détruire pour mieux reconstruire – l’est aussi pour les français de Blind Digital Citizen. Avec ce baptême du feu nommé « Premières Vies », ils proposent un premier album où renaissance, espoir et re-création sont gravés entre des sillons à la fois synthétiques et humains (après tout). Et s’imposent naturellement comme le premier véritable groupe français du XXIe.

Obsédé par la réinvention permanente depuis ses débuts en 2012, Blind Digital Citizen a donc choisi de conjuguer son premier disque au pluriel. « Premières Vies ». Un titre à choix multiples qui traduit bien les paradoxes du groupe, à la fois aveuglé par les lumières d’une époque où tout va trop vite, mais aussi impliqué jusqu’aux cordes vocales dans ce quotidien à triple dimensions. Sortant de l’autoroute de l’information pour mieux observer le monde qui les entoure, ces enfants du nouveau siècle font ici tabula rasa des angoisses et des doutes de l’adolescence pour faire naître une (en)vie : celle d’une musique consciente qui dépeindrait avec justesse et poésie le monde qui les entoure.

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Rien ne sert de mourir, il faut courir à point. Ce qui vaut pour l’Apocalypse de Saint Jean – tout détruire pour mieux reconstruire – l’est aussi pour les français de Blind Digital Citizen. Avec ce baptême du feu nommé « Premières Vies », ils proposent un premier album où renaissance, espoir et re-création sont gravés entre des sillons à la fois synthétiques et humains (après tout). Et s’imposent naturellement comme le premier véritable groupe français du XXIe.

Obsédé par la réinvention permanente depuis ses débuts en 2012, Blind Digital Citizen a donc choisi de conjuguer son premier disque au pluriel. « Premières Vies ». Un titre à choix multiples qui traduit bien les paradoxes du groupe, à la fois aveuglé par les lumières d’une époque où tout va trop vite, mais aussi impliqué jusqu’aux cordes vocales dans ce quotidien à triple dimensions. Sortant de l’autoroute de l’information pour mieux observer le monde qui les entoure, ces enfants du nouveau siècle font ici tabula rasa des angoisses et des doutes de l’adolescence pour faire naître une (en)vie : celle d’une musique consciente qui dépeindrait avec justesse et poésie le monde qui les entoure.

Rien ne sert de mourir, il faut courir à point. Ce qui vaut pour l’Apocalypse de Saint Jean – tout détruire pour mieux reconstruire – l’est aussi pour les français de Blind Digital Citizen. Avec ce baptême du feu nommé « Premières Vies », ils proposent un premier album où renaissance, espoir et re-création sont gravés entre des sillons à la fois synthétiques et humains (après tout). Et s’imposent naturellement comme le premier véritable groupe français du XXIe.

Obsédé par la réinvention permanente depuis ses débuts en 2012, Blind Digital Citizen a donc choisi de conjuguer son premier disque au pluriel. « Premières Vies ». Un titre à choix multiples qui traduit bien les paradoxes du groupe, à la fois aveuglé par les lumières d’une époque où tout va trop vite, mais aussi impliqué jusqu’aux cordes vocales dans ce quotidien à triple dimensions. Sortant de l’autoroute de l’information pour mieux observer le monde qui les entoure, ces enfants du nouveau siècle font ici tabula rasa des angoisses et des doutes de l’adolescence pour faire naître une (en)vie : celle d’une musique consciente qui dépeindrait avec justesse et poésie le monde qui les entoure.