Montparnasse (vinyle 7")

7,00 €

Moins d’un an après son premier disque, un EP qui présentait en quatre titres leur univers sombre et captivant, Grand Blanc est en passe de devenir, comme La Femme ou Moodoïd avant lui, l’un des groupes phares de cette génération qui secoue le paysage rock français.

Révélé sur scène en 2014 - avec en point d’orgue un concert à la fois épique et émouvant aux Transmusicales de Rennes - Camille, Benoit, Vincent et Luc n’ont depuis cessé de parcourir la France, jouant devant un public chaque fois grandissant. Pour sa deuxième sortie, le choix du groupe s’est d’ailleurs porté sur deux morceaux largement éprouvés sur scène et qui, enregistrés par Adrien Pallot (La Femme, Blind Digital Citizen) et mixés par Frédéric Deces (C.A.R., Izia) révèlent un peu plus l’originalité de leur musique, entre froideur synthétique et puissantes envolées lyriques.

Ces chansons développent les thèmes et atmosphères chers au quatuor. Montparnasse, ballade poignante et intimiste sur le deuil et l’absence, marque à la fois par sa construction progressive et ses appels à l’aide qui résonnent en chacun de nous : « Faites-moi descendre, pour moi la Terre a trop tourné, mais ne vous gênez pas, dansez ! ». 

Le second titre, Nord, lancinant/statique comme une saison dans le grand Est - Grand Blanc est né à Metz – dépeint une jeunesse en perte de repère : « C’est vitesse moyenne, fréquence moyenne, j’ai perdu mes moyens…»

Loin de se perdre, le groupe gagne en force et en caractère. En concert cet été, Grand Blanc rentrera aussi en studio pour enregistrer son premier album à paraître en 2016.


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Moins d’un an après son premier disque, un EP qui présentait en quatre titres leur univers sombre et captivant, Grand Blanc est en passe de devenir, comme La Femme ou Moodoïd avant lui, l’un des groupes phares de cette génération qui secoue le paysage rock français.

Révélé sur scène en 2014 - avec en point d’orgue un concert à la fois épique et émouvant aux Transmusicales de Rennes - Camille, Benoit, Vincent et Luc n’ont depuis cessé de parcourir la France, jouant devant un public chaque fois grandissant. Pour sa deuxième sortie, le choix du groupe s’est d’ailleurs porté sur deux morceaux largement éprouvés sur scène et qui, enregistrés par Adrien Pallot (La Femme, Blind Digital Citizen) et mixés par Frédéric Deces (C.A.R., Izia) révèlent un peu plus l’originalité de leur musique, entre froideur synthétique et puissantes envolées lyriques.

Ces chansons développent les thèmes et atmosphères chers au quatuor. Montparnasse, ballade poignante et intimiste sur le deuil et l’absence, marque à la fois par sa construction progressive et ses appels à l’aide qui résonnent en chacun de nous : « Faites-moi descendre, pour moi la Terre a trop tourné, mais ne vous gênez pas, dansez ! ». 

Le second titre, Nord, lancinant/statique comme une saison dans le grand Est - Grand Blanc est né à Metz – dépeint une jeunesse en perte de repère : « C’est vitesse moyenne, fréquence moyenne, j’ai perdu mes moyens…»

Loin de se perdre, le groupe gagne en force et en caractère. En concert cet été, Grand Blanc rentrera aussi en studio pour enregistrer son premier album à paraître en 2016.


Moins d’un an après son premier disque, un EP qui présentait en quatre titres leur univers sombre et captivant, Grand Blanc est en passe de devenir, comme La Femme ou Moodoïd avant lui, l’un des groupes phares de cette génération qui secoue le paysage rock français.

Révélé sur scène en 2014 - avec en point d’orgue un concert à la fois épique et émouvant aux Transmusicales de Rennes - Camille, Benoit, Vincent et Luc n’ont depuis cessé de parcourir la France, jouant devant un public chaque fois grandissant. Pour sa deuxième sortie, le choix du groupe s’est d’ailleurs porté sur deux morceaux largement éprouvés sur scène et qui, enregistrés par Adrien Pallot (La Femme, Blind Digital Citizen) et mixés par Frédéric Deces (C.A.R., Izia) révèlent un peu plus l’originalité de leur musique, entre froideur synthétique et puissantes envolées lyriques.

Ces chansons développent les thèmes et atmosphères chers au quatuor. Montparnasse, ballade poignante et intimiste sur le deuil et l’absence, marque à la fois par sa construction progressive et ses appels à l’aide qui résonnent en chacun de nous : « Faites-moi descendre, pour moi la Terre a trop tourné, mais ne vous gênez pas, dansez ! ». 

Le second titre, Nord, lancinant/statique comme une saison dans le grand Est - Grand Blanc est né à Metz – dépeint une jeunesse en perte de repère : « C’est vitesse moyenne, fréquence moyenne, j’ai perdu mes moyens…»

Loin de se perdre, le groupe gagne en force et en caractère. En concert cet été, Grand Blanc rentrera aussi en studio pour enregistrer son premier album à paraître en 2016.