160 caractères pour te dire adieu (vinyle 7")

15,00 €

Déjà adoubés dans leur fief rennais à la faveur, notamment, d'une homérique et remarquée performance aux Trans Musicales, les Superets s'apprêtent à porter leur bonne et communicative énergie aux quatre coins de la France. Garçons malins aux vapeurs de twist, Léo, Hugo, Romain et François — 92 ans à eux quatre, toutes leurs dents et de l’amour à revendre — empilent guitares surf, claviers Jacno et textes en français, pour un mélange, comme ils disent, « yéyétronique ».

Bien dans leur époque et leurs bottines, les quatre impétrants auto-proclamés «beautiful loosers» (entre autres condamnés à supporter le Stade Rennais) évoquent un autre groupe en Super : Supergrass. La même énergie rock et détendue, les mêmes rouflaquettes de dessins animés, la même juvénile pertinence. Mais quand le combo anglais chantait sur leur premier album « We are young, nice and clean... », Léo, le charismatique leader des Superets aux faux airs de Lucky Luke, affirme crânement sur leur premier single « 160 caractères pour te dire adieu / à 10 centimes la rupture sans les larmes aux yeux ».

Le morceau a d’ailleurs tout du tube générationnel. Car si leurs parents se cachaient derrière un kleenex, les Superets, tranquillement abrités derrière leur portable, savent comment se dire adieu par textos interposés (qui a entre autre l'avantage de ne pas voir à trouver de périlleuses rimes en -ex). Ce qui par contre ne change pas, c'est que les histoires d'amour se finissent encore mal en général — et sans entrain en particulier sur le rêveur Les histoires sans fin. Quant aux deux autres morceaux, ils sont, à l'image de ce premier EP, toujours référencés mais jamais passéistes, gorgés d'un généreux enthousiasme et de slap  echo.

Et si cette bio dépasse les 160 caractères, c'est qu'il fallait bien ça pour vous dire tout le bien que l'on pense d'eux.


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Déjà adoubés dans leur fief rennais à la faveur, notamment, d'une homérique et remarquée performance aux Trans Musicales, les Superets s'apprêtent à porter leur bonne et communicative énergie aux quatre coins de la France. Garçons malins aux vapeurs de twist, Léo, Hugo, Romain et François — 92 ans à eux quatre, toutes leurs dents et de l’amour à revendre — empilent guitares surf, claviers Jacno et textes en français, pour un mélange, comme ils disent, « yéyétronique ».

Bien dans leur époque et leurs bottines, les quatre impétrants auto-proclamés «beautiful loosers» (entre autres condamnés à supporter le Stade Rennais) évoquent un autre groupe en Super : Supergrass. La même énergie rock et détendue, les mêmes rouflaquettes de dessins animés, la même juvénile pertinence. Mais quand le combo anglais chantait sur leur premier album « We are young, nice and clean... », Léo, le charismatique leader des Superets aux faux airs de Lucky Luke, affirme crânement sur leur premier single « 160 caractères pour te dire adieu / à 10 centimes la rupture sans les larmes aux yeux ».

Le morceau a d’ailleurs tout du tube générationnel. Car si leurs parents se cachaient derrière un kleenex, les Superets, tranquillement abrités derrière leur portable, savent comment se dire adieu par textos interposés (qui a entre autre l'avantage de ne pas voir à trouver de périlleuses rimes en -ex). Ce qui par contre ne change pas, c'est que les histoires d'amour se finissent encore mal en général — et sans entrain en particulier sur le rêveur Les histoires sans fin. Quant aux deux autres morceaux, ils sont, à l'image de ce premier EP, toujours référencés mais jamais passéistes, gorgés d'un généreux enthousiasme et de slap  echo.

Et si cette bio dépasse les 160 caractères, c'est qu'il fallait bien ça pour vous dire tout le bien que l'on pense d'eux.


Déjà adoubés dans leur fief rennais à la faveur, notamment, d'une homérique et remarquée performance aux Trans Musicales, les Superets s'apprêtent à porter leur bonne et communicative énergie aux quatre coins de la France. Garçons malins aux vapeurs de twist, Léo, Hugo, Romain et François — 92 ans à eux quatre, toutes leurs dents et de l’amour à revendre — empilent guitares surf, claviers Jacno et textes en français, pour un mélange, comme ils disent, « yéyétronique ».

Bien dans leur époque et leurs bottines, les quatre impétrants auto-proclamés «beautiful loosers» (entre autres condamnés à supporter le Stade Rennais) évoquent un autre groupe en Super : Supergrass. La même énergie rock et détendue, les mêmes rouflaquettes de dessins animés, la même juvénile pertinence. Mais quand le combo anglais chantait sur leur premier album « We are young, nice and clean... », Léo, le charismatique leader des Superets aux faux airs de Lucky Luke, affirme crânement sur leur premier single « 160 caractères pour te dire adieu / à 10 centimes la rupture sans les larmes aux yeux ».

Le morceau a d’ailleurs tout du tube générationnel. Car si leurs parents se cachaient derrière un kleenex, les Superets, tranquillement abrités derrière leur portable, savent comment se dire adieu par textos interposés (qui a entre autre l'avantage de ne pas voir à trouver de périlleuses rimes en -ex). Ce qui par contre ne change pas, c'est que les histoires d'amour se finissent encore mal en général — et sans entrain en particulier sur le rêveur Les histoires sans fin. Quant aux deux autres morceaux, ils sont, à l'image de ce premier EP, toujours référencés mais jamais passéistes, gorgés d'un généreux enthousiasme et de slap  echo.

Et si cette bio dépasse les 160 caractères, c'est qu'il fallait bien ça pour vous dire tout le bien que l'on pense d'eux.