Air India (vinyle)
« Il était une fois un grand voyage ». C’est avec la voix grave et chaude d’un narrateur que débute, comme un conte de fées Air India, le premier album de David Sztanke sous son nom propre. Anciennement leader de Tahiti Boy and The Palmtree Family, le musicien, compositeur et producteur travaille depuis longtemps pour le cinéma (avec Quentin Dupieux, Christophe Honoré, Eric Judor...) mais nous offre ici sa première bande vraiment originale, la musique d’un film mental, intime et onirique, sa musique de rêve à lui.
« Ah, ce voyage en Inde, ça fait longtemps qu’il s’y prépare ». La veille de prendre son avion, David gamberge, il consulte fébrilement son Guide du routard, il n’arrive pas à dormir et finit par prendre un somnifère pour partir en un tout autre voyage, intérieur et mystérieux, nourri de toutes ces images compulsées de Chennai, Pondichéry, Madurai, et de toutes ses attentes aussi, rêvant son Inde idéale et fantasmée.
David s’envole et nous emmène avec lui, tel Alice au pays des merveilles ou un imaginaire Tintin en Inde, vers ce pays mythique chargé de couleurs, de saveurs et de sons, qu’il retranscrit en compositions pop et jazz chatoyantes, épicées de sitars, gongs, raggas et gracieuses mélopées féminines. Comme les artistes Exotica réinventaient dans les années 1950-1960 les musiques de contrées inaccessibles, David Sztanke hybride son jetlag occidental d’images florissantes - ses impressions indiennes - entre anxiété et exaltation.
« Il était une fois un grand voyage ». C’est avec la voix grave et chaude d’un narrateur que débute, comme un conte de fées Air India, le premier album de David Sztanke sous son nom propre. Anciennement leader de Tahiti Boy and The Palmtree Family, le musicien, compositeur et producteur travaille depuis longtemps pour le cinéma (avec Quentin Dupieux, Christophe Honoré, Eric Judor...) mais nous offre ici sa première bande vraiment originale, la musique d’un film mental, intime et onirique, sa musique de rêve à lui.
« Ah, ce voyage en Inde, ça fait longtemps qu’il s’y prépare ». La veille de prendre son avion, David gamberge, il consulte fébrilement son Guide du routard, il n’arrive pas à dormir et finit par prendre un somnifère pour partir en un tout autre voyage, intérieur et mystérieux, nourri de toutes ces images compulsées de Chennai, Pondichéry, Madurai, et de toutes ses attentes aussi, rêvant son Inde idéale et fantasmée.
David s’envole et nous emmène avec lui, tel Alice au pays des merveilles ou un imaginaire Tintin en Inde, vers ce pays mythique chargé de couleurs, de saveurs et de sons, qu’il retranscrit en compositions pop et jazz chatoyantes, épicées de sitars, gongs, raggas et gracieuses mélopées féminines. Comme les artistes Exotica réinventaient dans les années 1950-1960 les musiques de contrées inaccessibles, David Sztanke hybride son jetlag occidental d’images florissantes - ses impressions indiennes - entre anxiété et exaltation.
« Il était une fois un grand voyage ». C’est avec la voix grave et chaude d’un narrateur que débute, comme un conte de fées Air India, le premier album de David Sztanke sous son nom propre. Anciennement leader de Tahiti Boy and The Palmtree Family, le musicien, compositeur et producteur travaille depuis longtemps pour le cinéma (avec Quentin Dupieux, Christophe Honoré, Eric Judor...) mais nous offre ici sa première bande vraiment originale, la musique d’un film mental, intime et onirique, sa musique de rêve à lui.
« Ah, ce voyage en Inde, ça fait longtemps qu’il s’y prépare ». La veille de prendre son avion, David gamberge, il consulte fébrilement son Guide du routard, il n’arrive pas à dormir et finit par prendre un somnifère pour partir en un tout autre voyage, intérieur et mystérieux, nourri de toutes ces images compulsées de Chennai, Pondichéry, Madurai, et de toutes ses attentes aussi, rêvant son Inde idéale et fantasmée.
David s’envole et nous emmène avec lui, tel Alice au pays des merveilles ou un imaginaire Tintin en Inde, vers ce pays mythique chargé de couleurs, de saveurs et de sons, qu’il retranscrit en compositions pop et jazz chatoyantes, épicées de sitars, gongs, raggas et gracieuses mélopées féminines. Comme les artistes Exotica réinventaient dans les années 1950-1960 les musiques de contrées inaccessibles, David Sztanke hybride son jetlag occidental d’images florissantes - ses impressions indiennes - entre anxiété et exaltation.