Ailleurs (vinyle)
C’est par une invitation au voyage que démarre Ailleurs, le nouveau single de Grand Blanc. Déjà auteur d’un remarqué premier album en 2016, le très digital et incandescent Mémoires vives, le jeune quatuor originaire de Metz revient avec Ailleurs, une ambitieuse balade. La genèse du morceau remonterait à une nuit passée à Hong Kong, hors du temps et de l’espace à attendre l’aube se lever. Perché au sommet d’une tour, le groupe - alors en tournée en Asie - se serait soudain senti monter, comme libéré et apaisé.
Porté par la voix de Camille, à la fois nonchalante et d’une folle élégance, Grand Blanc prend littéralement de la hauteur - et son temps - sur ce slow de 10 minutes qui téléporte Brian Eno au temps des Yéyés et mêle les synthés épiques de M83 aux sonorités oniriques de Badalamenti. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si le titre se rapproche des atmosphères étranges des chansons de Julee Cruise. Et qu’à la manière d’Alice traversant le miroir, le chant s’étire et s’élève en volutes et nous entraîne dans un surprenant second mouvement qui se fait plus éthéré et ouaté, presque jazz dans sa ligne de basse et sa rythmique déconstruite.
« J’ai rêvé d’un peu d’air, d’un peu d’herbe »
Avec Ailleurs, Grand Blanc nous parle de cette jeunesse qui a, malgré tout « les yeux dans les cieux » et qui coûte que coûte, veut rêver d’un possible ailleurs, d’une échappée vers le haut, higher. Et lève doucement le voile sur leur second album à paraître cet automne.
C’est par une invitation au voyage que démarre Ailleurs, le nouveau single de Grand Blanc. Déjà auteur d’un remarqué premier album en 2016, le très digital et incandescent Mémoires vives, le jeune quatuor originaire de Metz revient avec Ailleurs, une ambitieuse balade. La genèse du morceau remonterait à une nuit passée à Hong Kong, hors du temps et de l’espace à attendre l’aube se lever. Perché au sommet d’une tour, le groupe - alors en tournée en Asie - se serait soudain senti monter, comme libéré et apaisé.
Porté par la voix de Camille, à la fois nonchalante et d’une folle élégance, Grand Blanc prend littéralement de la hauteur - et son temps - sur ce slow de 10 minutes qui téléporte Brian Eno au temps des Yéyés et mêle les synthés épiques de M83 aux sonorités oniriques de Badalamenti. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si le titre se rapproche des atmosphères étranges des chansons de Julee Cruise. Et qu’à la manière d’Alice traversant le miroir, le chant s’étire et s’élève en volutes et nous entraîne dans un surprenant second mouvement qui se fait plus éthéré et ouaté, presque jazz dans sa ligne de basse et sa rythmique déconstruite.
« J’ai rêvé d’un peu d’air, d’un peu d’herbe »
Avec Ailleurs, Grand Blanc nous parle de cette jeunesse qui a, malgré tout « les yeux dans les cieux » et qui coûte que coûte, veut rêver d’un possible ailleurs, d’une échappée vers le haut, higher. Et lève doucement le voile sur leur second album à paraître cet automne.
C’est par une invitation au voyage que démarre Ailleurs, le nouveau single de Grand Blanc. Déjà auteur d’un remarqué premier album en 2016, le très digital et incandescent Mémoires vives, le jeune quatuor originaire de Metz revient avec Ailleurs, une ambitieuse balade. La genèse du morceau remonterait à une nuit passée à Hong Kong, hors du temps et de l’espace à attendre l’aube se lever. Perché au sommet d’une tour, le groupe - alors en tournée en Asie - se serait soudain senti monter, comme libéré et apaisé.
Porté par la voix de Camille, à la fois nonchalante et d’une folle élégance, Grand Blanc prend littéralement de la hauteur - et son temps - sur ce slow de 10 minutes qui téléporte Brian Eno au temps des Yéyés et mêle les synthés épiques de M83 aux sonorités oniriques de Badalamenti. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si le titre se rapproche des atmosphères étranges des chansons de Julee Cruise. Et qu’à la manière d’Alice traversant le miroir, le chant s’étire et s’élève en volutes et nous entraîne dans un surprenant second mouvement qui se fait plus éthéré et ouaté, presque jazz dans sa ligne de basse et sa rythmique déconstruite.
« J’ai rêvé d’un peu d’air, d’un peu d’herbe »
Avec Ailleurs, Grand Blanc nous parle de cette jeunesse qui a, malgré tout « les yeux dans les cieux » et qui coûte que coûte, veut rêver d’un possible ailleurs, d’une échappée vers le haut, higher. Et lève doucement le voile sur leur second album à paraître cet automne.