Nuits de velours (vinyle)

12,00 €

Cela fait quelque temps déjà que les rythmes, les mélodies et les chants d’Afrique du Nord infusent la culture populaire française. Des beats de la trap aux mélismes des voix autotunées, de Tonton du bled du 113 au jargon multiculturel de PNL, plusieurs générations d’immigrés ont mélangé leurs sons et leurs mots à ceux de leur terre d’accueil. Mauvais Œil prend le parti de cette double identité : le jeune duo marie Orient et Occident comme les deux faces d’une même amulette - avec un œil turquoise en son centre.

Née en banlieue parisienne de parents algériens, Sarah a grandi au son du raï de Cheb Hasni et de la pop de Britney Spears. Héritière du « souk des cultures » de Rachid Taha, elle chante en arabe et en français et teinte son chant des mêmes ondulations lancinantes que la diva Warda, « la rose algérienne ». Alexis, multi-instrumentiste accompli, étudie la musique baroque au Conservatoire avant de s’initier à la guitare manouche puis au rock. Allant puiser dans ses origines roumaines, il tente des alliances singulières entre rythmes traditionnels et sons électroniques.

Leur passionnant premier EP conjugue la voluptueuse magie blanche de Sarah et la virtuosité minérale d’Alexis : deux chansons en arabe et deux chansons en français, mêlant synthés acid-house et violons orientaux (Afrita), posant sur des solos de saz - sorte de luth oriental - les mêmes effets que les guitares surf des 60’s (Asha), ravivant l’étrange sensualité des Mille et une nuits (Mes nuits de velours), ou partant à la recherche des racines de Sarah, à Constantine, entre rythmiques cold-wave, gammes byzantines et textures psychédéliques.

Dans le sillage d’Altin Gün et Acid Arab, Sarah et Alexis fusionnent le chaud (le romantisme) et le froid (des machines), le jour (la démarche sincère) et la nuit (des rêves), le levant et le couchant. Rassemblant leurs différences, ils conjurent ainsi avec audace le mauvais œil dans un joyeux sabat où se côtoient djinns et esprits lumineux.

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Cela fait quelque temps déjà que les rythmes, les mélodies et les chants d’Afrique du Nord infusent la culture populaire française. Des beats de la trap aux mélismes des voix autotunées, de Tonton du bled du 113 au jargon multiculturel de PNL, plusieurs générations d’immigrés ont mélangé leurs sons et leurs mots à ceux de leur terre d’accueil. Mauvais Œil prend le parti de cette double identité : le jeune duo marie Orient et Occident comme les deux faces d’une même amulette - avec un œil turquoise en son centre.

Née en banlieue parisienne de parents algériens, Sarah a grandi au son du raï de Cheb Hasni et de la pop de Britney Spears. Héritière du « souk des cultures » de Rachid Taha, elle chante en arabe et en français et teinte son chant des mêmes ondulations lancinantes que la diva Warda, « la rose algérienne ». Alexis, multi-instrumentiste accompli, étudie la musique baroque au Conservatoire avant de s’initier à la guitare manouche puis au rock. Allant puiser dans ses origines roumaines, il tente des alliances singulières entre rythmes traditionnels et sons électroniques.

Leur passionnant premier EP conjugue la voluptueuse magie blanche de Sarah et la virtuosité minérale d’Alexis : deux chansons en arabe et deux chansons en français, mêlant synthés acid-house et violons orientaux (Afrita), posant sur des solos de saz - sorte de luth oriental - les mêmes effets que les guitares surf des 60’s (Asha), ravivant l’étrange sensualité des Mille et une nuits (Mes nuits de velours), ou partant à la recherche des racines de Sarah, à Constantine, entre rythmiques cold-wave, gammes byzantines et textures psychédéliques.

Dans le sillage d’Altin Gün et Acid Arab, Sarah et Alexis fusionnent le chaud (le romantisme) et le froid (des machines), le jour (la démarche sincère) et la nuit (des rêves), le levant et le couchant. Rassemblant leurs différences, ils conjurent ainsi avec audace le mauvais œil dans un joyeux sabat où se côtoient djinns et esprits lumineux.

Cela fait quelque temps déjà que les rythmes, les mélodies et les chants d’Afrique du Nord infusent la culture populaire française. Des beats de la trap aux mélismes des voix autotunées, de Tonton du bled du 113 au jargon multiculturel de PNL, plusieurs générations d’immigrés ont mélangé leurs sons et leurs mots à ceux de leur terre d’accueil. Mauvais Œil prend le parti de cette double identité : le jeune duo marie Orient et Occident comme les deux faces d’une même amulette - avec un œil turquoise en son centre.

Née en banlieue parisienne de parents algériens, Sarah a grandi au son du raï de Cheb Hasni et de la pop de Britney Spears. Héritière du « souk des cultures » de Rachid Taha, elle chante en arabe et en français et teinte son chant des mêmes ondulations lancinantes que la diva Warda, « la rose algérienne ». Alexis, multi-instrumentiste accompli, étudie la musique baroque au Conservatoire avant de s’initier à la guitare manouche puis au rock. Allant puiser dans ses origines roumaines, il tente des alliances singulières entre rythmes traditionnels et sons électroniques.

Leur passionnant premier EP conjugue la voluptueuse magie blanche de Sarah et la virtuosité minérale d’Alexis : deux chansons en arabe et deux chansons en français, mêlant synthés acid-house et violons orientaux (Afrita), posant sur des solos de saz - sorte de luth oriental - les mêmes effets que les guitares surf des 60’s (Asha), ravivant l’étrange sensualité des Mille et une nuits (Mes nuits de velours), ou partant à la recherche des racines de Sarah, à Constantine, entre rythmiques cold-wave, gammes byzantines et textures psychédéliques.

Dans le sillage d’Altin Gün et Acid Arab, Sarah et Alexis fusionnent le chaud (le romantisme) et le froid (des machines), le jour (la démarche sincère) et la nuit (des rêves), le levant et le couchant. Rassemblant leurs différences, ils conjurent ainsi avec audace le mauvais œil dans un joyeux sabat où se côtoient djinns et esprits lumineux.