Jeunes Instants (vinyle)
Julia, Éliane et Pierre-Luc sont Paupière. Du haut de leurs vingt ans, le jeune trio québécois puise son inspiration dans des ballades nocturnes et les vapeurs de la musique psychédélique.
À l’image de leur single Cinq heures, qui sonne comme une version hallucinée des soirées branchées du Paris des années 80, leur son passe aussi au filtre du meilleur de la scène montréalaise de ces dix dernières années : Broken Social Scene, Arcade Fire ou encore Grimes.
Le projet est né de l’envie de Pierre-Luc de jouer ses ébauches mélodiques sur un synthétiseur. Le résultat l’a convaincu de délaisser partiellement ses baguettes de batterie (We Are Wolves) pour imaginer des mélodies lascives portées par une rythmique sombre. C’est sans effort que Julia a posé ses textes et sa voix fragile sur ses airs accrocheurs tandis qu’Éliane, comédienne et compositrice de formation, est venue naturellement se greffer au duo quelques mois plus tard.
Se jouant des références, Paupière rêve les yeux grands ouverts d’une musique pop ultra sexuée, synthétique et puissante, portée par des paroles mêlant onirisme et quotidien.
«Les gens oublieront ces tristes chansons, ces grandes ambitions» chante le groupe sur Quinte, dont le thème rappelle étrangement Le chanteur de Balavoine. C’est pourtant l’exact opposé que l’on prédit à Paupière.
Julia, Éliane et Pierre-Luc sont Paupière. Du haut de leurs vingt ans, le jeune trio québécois puise son inspiration dans des ballades nocturnes et les vapeurs de la musique psychédélique.
À l’image de leur single Cinq heures, qui sonne comme une version hallucinée des soirées branchées du Paris des années 80, leur son passe aussi au filtre du meilleur de la scène montréalaise de ces dix dernières années : Broken Social Scene, Arcade Fire ou encore Grimes.
Le projet est né de l’envie de Pierre-Luc de jouer ses ébauches mélodiques sur un synthétiseur. Le résultat l’a convaincu de délaisser partiellement ses baguettes de batterie (We Are Wolves) pour imaginer des mélodies lascives portées par une rythmique sombre. C’est sans effort que Julia a posé ses textes et sa voix fragile sur ses airs accrocheurs tandis qu’Éliane, comédienne et compositrice de formation, est venue naturellement se greffer au duo quelques mois plus tard.
Se jouant des références, Paupière rêve les yeux grands ouverts d’une musique pop ultra sexuée, synthétique et puissante, portée par des paroles mêlant onirisme et quotidien.
«Les gens oublieront ces tristes chansons, ces grandes ambitions» chante le groupe sur Quinte, dont le thème rappelle étrangement Le chanteur de Balavoine. C’est pourtant l’exact opposé que l’on prédit à Paupière.
Julia, Éliane et Pierre-Luc sont Paupière. Du haut de leurs vingt ans, le jeune trio québécois puise son inspiration dans des ballades nocturnes et les vapeurs de la musique psychédélique.
À l’image de leur single Cinq heures, qui sonne comme une version hallucinée des soirées branchées du Paris des années 80, leur son passe aussi au filtre du meilleur de la scène montréalaise de ces dix dernières années : Broken Social Scene, Arcade Fire ou encore Grimes.
Le projet est né de l’envie de Pierre-Luc de jouer ses ébauches mélodiques sur un synthétiseur. Le résultat l’a convaincu de délaisser partiellement ses baguettes de batterie (We Are Wolves) pour imaginer des mélodies lascives portées par une rythmique sombre. C’est sans effort que Julia a posé ses textes et sa voix fragile sur ses airs accrocheurs tandis qu’Éliane, comédienne et compositrice de formation, est venue naturellement se greffer au duo quelques mois plus tard.
Se jouant des références, Paupière rêve les yeux grands ouverts d’une musique pop ultra sexuée, synthétique et puissante, portée par des paroles mêlant onirisme et quotidien.
«Les gens oublieront ces tristes chansons, ces grandes ambitions» chante le groupe sur Quinte, dont le thème rappelle étrangement Le chanteur de Balavoine. C’est pourtant l’exact opposé que l’on prédit à Paupière.