Le sang et l'argent (vinyle 7")
Après 160 caractères pour te dire adieu, un premier EP joyeusement foutraque où se mêlaient pêle-mêle guitares surf, chœurs yéyé et synthés triangulaires, les Superets reviennent avec un nouveau single produit par Olivier Bastide, l’ingénieur derrière les succès Manceau et Juveniles.
Un tube en devenir, Le sang, l’argent - le groupe a décidément le sens de la formule - fait l’effet d’un bonbon pop et acide : derrière les mélodies ensoleillées et les rythmes entraînants se cache une jeunesse insoumise qui se cherche et hésite. Sous la plage, les pavés en quelque sorte...
Et cette désinvolture cool que vient fissurer une moderne mélancolie nous fait penser à un autre rocker pour rire, Mac Demarco. D’ailleurs, à l’instar de leur homologue canadien, c’est en concert que la pop de nos quatre Rennais dans le vent prend son envol dans un mélange aussi inattendu que réussi entre attitude rock – moulinets de guitare et pied sur les retours – et look décalé : rouflaquettes, chemises à fleurs.
« On prendrait bien des vacances, du sexe en abondance » chante le groupe en ouverture : et ça sonne comme une profession de foi, une déclaration cavalière mais ô combien partagée. Comme le plaisir de se réécouter Le sang, l’argent en somme.
Bonne écoute (et réécoute donc).
Après 160 caractères pour te dire adieu, un premier EP joyeusement foutraque où se mêlaient pêle-mêle guitares surf, chœurs yéyé et synthés triangulaires, les Superets reviennent avec un nouveau single produit par Olivier Bastide, l’ingénieur derrière les succès Manceau et Juveniles.
Un tube en devenir, Le sang, l’argent - le groupe a décidément le sens de la formule - fait l’effet d’un bonbon pop et acide : derrière les mélodies ensoleillées et les rythmes entraînants se cache une jeunesse insoumise qui se cherche et hésite. Sous la plage, les pavés en quelque sorte...
Et cette désinvolture cool que vient fissurer une moderne mélancolie nous fait penser à un autre rocker pour rire, Mac Demarco. D’ailleurs, à l’instar de leur homologue canadien, c’est en concert que la pop de nos quatre Rennais dans le vent prend son envol dans un mélange aussi inattendu que réussi entre attitude rock – moulinets de guitare et pied sur les retours – et look décalé : rouflaquettes, chemises à fleurs.
« On prendrait bien des vacances, du sexe en abondance » chante le groupe en ouverture : et ça sonne comme une profession de foi, une déclaration cavalière mais ô combien partagée. Comme le plaisir de se réécouter Le sang, l’argent en somme.
Bonne écoute (et réécoute donc).
Après 160 caractères pour te dire adieu, un premier EP joyeusement foutraque où se mêlaient pêle-mêle guitares surf, chœurs yéyé et synthés triangulaires, les Superets reviennent avec un nouveau single produit par Olivier Bastide, l’ingénieur derrière les succès Manceau et Juveniles.
Un tube en devenir, Le sang, l’argent - le groupe a décidément le sens de la formule - fait l’effet d’un bonbon pop et acide : derrière les mélodies ensoleillées et les rythmes entraînants se cache une jeunesse insoumise qui se cherche et hésite. Sous la plage, les pavés en quelque sorte...
Et cette désinvolture cool que vient fissurer une moderne mélancolie nous fait penser à un autre rocker pour rire, Mac Demarco. D’ailleurs, à l’instar de leur homologue canadien, c’est en concert que la pop de nos quatre Rennais dans le vent prend son envol dans un mélange aussi inattendu que réussi entre attitude rock – moulinets de guitare et pied sur les retours – et look décalé : rouflaquettes, chemises à fleurs.
« On prendrait bien des vacances, du sexe en abondance » chante le groupe en ouverture : et ça sonne comme une profession de foi, une déclaration cavalière mais ô combien partagée. Comme le plaisir de se réécouter Le sang, l’argent en somme.
Bonne écoute (et réécoute donc).